Celles qu'on n'a pas prises
Le petit café basque en face de la FNAC des Ternes.
Le première fois, à la mi-août, deux femmes s'assoient à côté de moi "avec une petite faim". On leur apporte deux capiteuses tranches de gâteau basque - jaune et moelleux.
Hier, dans la brise chaude qui annonce l'automne. Les verts et rouges du décor éclatent dans le soleil. La courtoisie du Sud Ouest réchauffe les commandes : je prends une Eki légère, alors que les voisins sont encore sur des résidus de diabolo menthe et de grenadines.
La propriétaire efface les menus de midi de l'ardoise en forme de gourmet joufflu.
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