mardi 28 octobre 2008
dimanche 26 octobre 2008
De cave en merveille - Gérard Oberlé
Publié par JC-Milan à 10:14 0 commentaires
samedi 25 octobre 2008
La station Porte Saint-Martin n'existe plus
Publié par JC-Milan à 14:15 0 commentaires
Libellés : Couleur, Fantastique, Filtre, Paris, porte, Ville
vendredi 24 octobre 2008
Mairie du huitième
Publié par JC-Milan à 21:42 1 commentaires
Libellés : Dixneuvième, Institution, intérieur, lumière, Paris
mercredi 22 octobre 2008
Cécile
Cécile était religieuse et nous servait le repas au pensionnat de Milan.
Nous étions étudiantes, incroyantes et affamées ces soirs noirs de la semaine. Les prix raisonnables des chambres nous retenaient dans ce nid pieux et froid.
Très belle femme, même quinquagénaire, elle portait une grande ceinture en cuir sur son habit de nonne. Cela faisait jaser, ainsi que la mèche qu'elle laissait dépasser - à peine - du voile.
Cécile avait passé l'essentiel de sa vie adulte à Alexandrie en Egypte. Elle nous racontait ses souvenirs dans les petites rues de la mégalopole, les visites aux pauvres, la conduite d'une petite voiture dans le trafic surhumain, les contacts avec les autres communautés et ethnies... Elle était partie là-bas sur les traces d'un frère aîné, mort avant sa naissance en odeur de sainteté.
Cécile était malheureuse parmi ses soeurs bornées qui n'avaient pas quitté le carré milanais. Je l'aimais bien, mes camarades la détestaient - Dieu sait pourquoi.
Publié par JC-Milan à 19:18 0 commentaires
Libellés : "Ces dames", Destin, Italie, Milan, Religieuses, Souvenir
lundi 20 octobre 2008
Les lions de Cernuschi
Publié par JC-Milan à 21:27 0 commentaires
Libellés : Chine, Fantastique, Musée, Paris, Sculpture
dimanche 19 octobre 2008
Sélection du Louvre - 4
Publié par JC-Milan à 10:29 2 commentaires
Celles qu'on n'a pas prises
Au Café Peperoni de l'avenue de Wagram - qui est un petit coin chaleureux, ouvert le dimanche aussi, avec une jolie terrasse chauffée.
Trois angéliques de seize ans étaient assises derrière moi, ce qui donnait de la gaieté à l'après-midi ensoleillé, mais aussi (beaucoup de) bruit à ma lecture qui se voulait tranquille. Pour compenser mes plaisirs de bibliothèque, les trois jeunesses avaient des ambitions littéraires. Après de longs commentaires sur un SMS qu'une amie avait envoyé à l'une d'elles pour son anniversaire - long comme un roman, où il était question de "doigts qui caressent" le clavier du portable - la petite troupe s'est mise à l'écriture d'une chanson. La mélodie était arrêtée depuis quelque temps déjà, les dames travaillaient aux strophes et couplets. On parlait d'un mec au joli minois et aux beaux yeux bleus - je ne sens pas de grand écart générationnel, là - dont la grande préoccupation était de sortir avec les copains un samedi soir. Un peu plus d'air du temps dans la phrase suivante, qui prévoyait un destin de "star" au beau garçon... Ensuite, grandes discussions sur la rime, fallait-il que la star enfile un costard ou pas... Là elles m'ont impressionnée, c'etait une vraie et longue discussion d'écriture qui commençait; je suis hélas partie sur la fin de mon chapitre et avant la fin du couplet.
Publié par JC-Milan à 09:24 0 commentaires
Libellés : "Non prises", Café, Café du Coin, Paris, Texte
samedi 18 octobre 2008
La Ville
Et puis, si vous voulez, quelques amusements en Grand Format
Publié par JC-Milan à 12:06 1 commentaires
Libellés : Architecture, Ciel, Maison, Paris, Ville
mercredi 15 octobre 2008
samedi 11 octobre 2008
A l'ombre de Jules Verne
Les monstres marins de Nantes
La troisième photo est aussi en grand format sur L A R G E
Publié par JC-Milan à 22:44 2 commentaires
Libellés : Fantastique, Musée, Voyage
jeudi 9 octobre 2008
Racines
Inès et Federico habitaient deux étages plus haut que nous. J'ai parlé d'eux, déjà.
Un été, on donnait Racines sur la Deux italienne. Nous avions encore le poste noir et blanc je crois. Cela devait être le dimanche soir, les enfants étaient autorisés à se coucher à dix heures, après la fiction du soir.
Cet été, des orages avaient endommagé l'antenne du côté d'Inès et Federico, mais pas chez nous. Les bizarreries de l'orientation radio à la montagne. Ainsi, le vieux couple de conviction social démocrate ne pouvait plus voir Kunta Kinte et sa descendance. Nous les invitions chez nous et partagions ce moment dans la petite pièce pleine comme un oeuf. C'était la fête pour moi, déjà douchée, les dents propres, et en pyjama.
Je ne connaissais rien à l'histoire des Noirs, il n'y avait pas d'immigrés au village perdu dans les Alpes. Racines m'apprit tout cela. C'est du passé, aujourd'hui, même en Afrique du Sud - j'y vais de temps à autre - l'Apartheid n'existe plus. Mais la pauvreté des paysans africains chez nous, elle, elle est toujours là. Inès m'aurait dit que ce n'est pas bien. La télé, elle, n'y peut rien.
Dans mon séjour, aujourd'hui, le même tapis persan bleu que nous foulions en famille.
Publié par JC-Milan à 22:26 2 commentaires
Libellés : Histoire, Italie, Souvenir, Télévision, Village
mardi 7 octobre 2008
Pause, tables
Connaissez vous Mes Cafés ?
Publié par JC-Milan à 22:33 3 commentaires
Libellés : Café, Café du Coin, Paris
dimanche 5 octobre 2008
jeudi 2 octobre 2008
Sexy ladies
Publié par JC-Milan à 20:09 0 commentaires
Libellés : "Ces dames", Maillol, Parc, Paris, Statue